Samedi 13 avril à partir de 10 h. Mobilisons-nous pour la Palestine et le Liban !
| 7 avr. 2024 16:09 (il y a 16 heures) |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Blog du Réseau de solidarité avec les peuples du Maroc, du Sahara occidental et d'ailleurs(RSPMSOA), créé en février 2009 à l'initiative de Solidarité Maroc 05, AZLS et Tlaxcala. Rejoignez-nous! Nous écrire: solidmarO5[at]gmail.com
| 7 avr. 2024 16:09 (il y a 16 heures) |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
De : | Association France Palestine Solidarité 05 AFPS05 <afpsha@gmail.com> |
---|
| 8 avr. 2024 17:04 (il y a 1 jour) | |||||||||||||
| ||||||||||||||
|
| 09:35 (il y a 13 heures) |
|
Sujet : | [partenaireslettreinfobio05] 22 fermes du 05 ouvrent leurs portes le 27 et 28 avril lors de De ferme en ferme |
---|---|
Date : | Fri, 12 Apr 2024 12:17:50 +0000 |
De : | agribio05 <agribio05@bio-provence.org> |
Répondre à : | agribio05 <agribio05@bio-provence.org> |
Pour : | partenaireslettreinfobio05@ |
Bonjour,
L’événement De ferme en ferme à lieu pour la première fois dans les Hautes-Alpes le 27 et 28 avril 2024 !
Serait-il possible de transmettre ces informations autour de vous ?
En vous remerciant
De ferme en ferme dans les Hautes-Alpes !
Venez visiter les 2 circuits dans les Hautes-Alpes le 27 et 28 avril :
13 fermes vous ouvrent leurs portes sur le circuit Champsaur-Valgodemar et 9 fermes dans le circuit Buëch-Dévoluy.
Les agriculteurs et agricultrices de ces 2 secteurs vous accueils sur leurs fermes, engagés dans une démarche d’agriculture durable, et désireux de présenter leur métier et de transmettre leurs connaissances.
Au programme :
Ne ratez pas cet événement !
| 12 avr. 2024 17:59 (il y a 5 jours) | ||
« Ce qui nous semble incontrôlable, ce n’est pas la dépense publique mais le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système » |
|||
Face aux restrictions à venir des crédits destinés aux plus vulnérables, un collectif d’associations emmené par Pascale Ribes, présidente d’APF France handicap, demande au gouvernement, dans une tribune au « Monde », de renforcer au contraire les budgets de l’Etat consacrés à la protection sociale. Publié
le 11 avril 2024
|
|||
|
|||
Alors que le gouvernement vient d’annoncer 10
milliards d’euros d’économies supplémentaires dès
cette année sur le budget de l’Etat et jusqu’à 20
milliards d’euros qui devront être trouvés dans le
budget 2025, nos associations sonnent l’alarme
face à ces orientations qui mettent en danger
notre système social et, plus largement, l’avenir
de notre société.
Nos associations sont ainsi particulièrement
préoccupées du démantèlement progressif des
dispositifs de protection sociale dans un contexte
d’apathie globale. La réforme annoncée de
l’allocation spécifique de solidarité (ASS) en est
l’illustration symbolique, tout comme la situation
sinistrée du secteur de l’aide à domicile qui met en
danger les personnes en situation de handicap et les
personnes âgées.
L’Etat-providence en grand danger Nous sommes aussi inquiets de la stigmatisation croissante de certaines personnes qui sont renvoyées à la responsabilité individuelle de leur situation défavorable, avec en particulier la figure emblématique du chômeur qui n’en fait pas assez et qui s’installerait durablement comme bénéficiaire de l’assurance-chômage, devenant un coût insoutenable pour la collectivité. Lire aussi | Article réservé à nos abonnés Hausse de la précarité : « Le déploiement de la solidarité à la source doit être accéléré en 2024 » Nos associations dénoncent aussi la mécanique en cours opposant des catégories de personnes entre elles et organisant la concurrence des causes à financer par l’argent public. Par exemple, les personnes souffrant d’une affection de longue durée (ALD) ou utilisant les transports médicalisés seraient soupçonnées d’abuser de la générosité de notre système de protection sociale. L’Etat-providence, fondement de la société d’après-guerre et du vivre-ensemble jusqu’à ce jour, est en grand danger. La rhétorique de Bercy et de son nouvel « Etat protecteur » ne fera qu’accroître le risque de précarité et d’explosion sociale dans un contexte économique de plus en plus difficile. Conscientes des besoins massifs de financements pour l’éducation et l’emploi, la santé et la solidarité, l’adaptation au changement climatique ou encore la dépendance, nos associations enjoignent au gouvernement de poser les conditions d’un débat parlementaire et citoyen sur le financement de la dépense publique. Une taxation exceptionnelle des superprofits Il n’est ainsi pas juste de faire uniquement reposer l’effort collectif sur une contraction du budget de l’État et donc sur les acteurs et usagers des services publics ou sur les personnes dépendant de la dépense publique, quand il est par ailleurs annoncé de manière ferme et définitive que toute perspective de financement par l’impôt serait par nature inenvisageable. La nation et la République reposent sur l’idée d’un commun : comment faire nation si le commun est effacé des politiques de la nation qui abandonnent l’idée d’agir pour toutes et tous ? Plusieurs travaux récents, en particulier le rapport Pisany-Ferri (2023) sur les incidences économiques de l’action pour le climat ou encore le rapport de l’ONG Oxfam intitulé « Multinationales et inégalités multiples » (2024), ont enjoint au gouvernement de répartir l’effort de financement par davantage de justice fiscale. Il est pour le moins étonnant qu’ils soient balayés sans même prendre la peine de considérer l’exigence de justice sociale et de redistribution de la richesse au bénéfice de toutes et tous. C’est pourquoi nos associations demandent au gouvernement de cesser de stigmatiser les populations les plus fragiles et d’opposer les catégories entre elles ; de sanctuariser et renforcer les budgets de l’Etat consacrés à la protection sociale et trouver d’autres leviers financiers, comme une taxation exceptionnelle des superprofits des entreprises ; de mettre en débat au Parlement et dans le cadre d’une conférence de consensus dans les prochains mois la recherche de financements pluriannuels assis sur une juste contribution à l’effort et en particulier sur la justice fiscale. Ce qui nous semble devenir incontrôlable aujourd’hui, ce n’est pas la dépense publique mais bien le transfert massif de la solidarité nationale au profit des acteurs les plus forts du système. Nos associations appellent à un sursaut citoyen et politique : retrouvons le sens du commun pour faire société ! Il y va de notre avenir à toutes et tous. Liste des cosignataires : Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de la solidarité ; Arnaud de Broca, président du Collectif handicaps ; Daniel Goldberg, président de l’Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux ; Noam Leandri, président du collectif Alerte ; Gérard Raymond, président de France Assos Santé Antoine Sueur, président d’Emmaüs France. Pascale Ribes (Présidente d’APF France handicap) |
Haaretz du 15 avril 2024 au soir
(sélection)
Selon le ministère de la Santé contrôlé par le Hamas à Gaza, au moins 33 797 Palestiniens ont été tués et 76 465 blessés depuis le début de la guerre.
Israël- USA : Après que les États-Unis se soient surpassés pour aider Israël à intercepter avec succès l’attaque de l’Iran, le président vise maintenant les dirigeants israéliens pour éviter une nouvelle escalade qui pourrait conduire à une guerre totale dans la région, leur disant qu’ils devraient accepter cette victoire et passer à autre chose.
Plus exactement, Ce message a été explicitement relayé par Biden au Premier ministre Benjamin Netanyahu, ainsi que par le secrétaire à la Défense Lloyd Austin à son homologue israélien Yoav Gallant, à la suite de la réponse iranienne : C’était une victoire, prenez la victoire, démissionnez pendant que vous êtes devant.
Israël – Iran La « victoire défensive » d’Israël sur l’Iran doit être assurée par des moyens diplomatiques et toutes les parties doivent s’efforcer d’empêcher l’escalade, a déclaré la ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock. Le président français Macron a déclaré que la France ferait tout ce qui est en son pouvoir pour éviter une nouvelle escalade au Moyen-Orient. Le Premier ministre britannique Rishi Sunak a déclaré qu’il s’entretiendrait bientôt avec le Premier ministre Netanyahu sur la manière d’empêcher l’escalade dans la région après l’attaque de l’Iran.
Le ministre iranien des Affaires étrangères a déclaré à son homologue britannique que Téhéran n’était pas favorable à une augmentation des tensions, mais qu’il réagirait immédiatement et avec plus de force qu’auparavant si Israël ripostait.
OTAGES/CESSEZ-LE-FEU : Le Hamas a envoyé aux médiateurs une proposition centrée sur la libération des otages après un cessez-le-feu de 41 jours, ont déclaré dimanche des sources palestiniennes et arabes proches des négociations.
Le plan proposé comprend trois étapes au cours desquelles tous les otages seront rapatriés et le siège de la bande de Gaza sera levé, ont ajouté les sources.
Selon le plan, la première étape durera six semaines, au cours de laquelle les Forces de défense israéliennes cesseront les hostilités, se retireront du centre urbain vers le périmètre de la bande de Gaza et permettront aux Gazaouis déplacés de retourner dans le nord. Dans le même temps, le Hamas recherchera tous les otages et recueillera des informations à leur sujet.
Dans un deuxième temps, les échanges de prisonniers ne commenceront qu’après le retrait de Tsahal en territoire israélien. Pour chaque femme civile, personne âgée et blessée libérée de Gaza, 30 prisonniers palestiniens seront libérés, et pour chaque femme soldat israélienne, 50 prisonniers seront libérés – dont 30 purgent des peines de prison à vie. En outre, les sanctions imposées aux prisonniers palestiniens dans les prisons israéliennes seront levées.
Les soldats de Tsahal capturés, les hommes en âge d’être enrôlés et les corps seront libérés lors de la troisième étape, qui verra la levée du siège et le début de la reconstruction dans la bande de Gaza.
GAZA : L’entrée d’aide humanitaire à Gaza en provenance d’Israël a considérablement augmenté ces derniers jours, a déclaré le porte-parole du Conseil de sécurité nationale des États-Unis, John Kirby, ajoutant que les États-Unis avaient besoin de voir cette aide se maintenir.
Le ministre israélien de la Culture, Miki Zohar, a déclaré que la raison pour laquelle l’armée israélienne a réduit l’intensité de ses opérations militaires à Gaza est qu’Israël veut parvenir à un accord pour libérer les otages.